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- Notre première source n'est,
- ni plus ni moins,
- que la Bible elle-même.
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- Des arbres, des fleurs,
- l’air
du large… et de la musique ! Magdala est une ville merveilleuse…
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- Au fait, je cherche une certaine Marie, peut-être
pouvez-vous m’aider ?
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- Oh, comment avez-vous ce tableau ?
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- C’est… le jardin de Marie ? Celui de Marthe ?
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- Où court-elle dans
- l’ombre
des ruelles ?
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- Elle dilapide !
- Il faut thésauriser…
- Elle gaspille !
- C’est un scandale…
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- C’est sûrement une…
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- C’est le rouge de ma terre, celui
des teinturiers de Magdala. Je viens de Magdala, et mes coquelicots aussi.
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- Tu es si… étonnante. Tu
fais craquer l’écorce de toutes les convenances. Tes chemins sont de ferveur et
d’excès...
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- J’aime me promener au
jardin des Ecritures
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- Je peins le ciel et le
vent,
- l’oiseau et la feuille qui frémit, je
peins le sentier qui s’enfuit et toi qui me souris. C’est vrai, je ne peins que
le jardin.
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- Le premier jardin ? Ce
serait un jardin immense, grand comme une planète. Ce serait une terre-jardin, sans
clôtures, sans frontières.
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- Tu as les plus rares
essences : du nard et du safran, du laurier et de la cannelle. (Ct)
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- J’aime dérouler les
rouleaux, assise sous le figuier.
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- Jésus, cela ne te fait
rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ?
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- Les Ecritures ont besoin
- d’être lues : en
les lisant, nous les déployons
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- Jésus a appris la maladie
de Lazare mais il ne s’est pas mis en route.
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- S’il avait été là, mon frère ne serait pas
mort.
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- Nous étions là, assises en
face du sépulcre. Nous avons tout vu, tout entendu.
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